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La géologie avant la tectonique des Plaques

Avant la tectonique des Plaques

Avant que la théorie de la tectonique soi admise dans la communauté scientifiques, les géologues de l’époque avaient mis en point une théorie qui expliqué les formations géologiques sans que des mouvements soient responsable de leurs genèses. Cette théorie est appelé le « Fixisme », pour plus d'information sur cette théorie voir Ici>>, les géologues fixistes n’admettaient pas que les continents puissent être mobiles. Ainsi, la formation des montagnes, pour la quelles la dérive des continents apporte maintenant une explication fiable, était supposée être dû au refroidissement de la croûte terrestre, et les plissements observés étaient attribué à la contraction des roches sur elles-mêmes.

Des corrélations paléontologiques entre les continents avaient déjà été notées par le géologue autrichien Eduard SUESS (1831-1914). Il développait sa théorie en imaginant des passerelles naturelles et résiduelles entre les continents, à une époque où ceux-ci étaient bien plus étendus avant qu’ils ne s’effondrent.
Eduard Suess, né à Londres le 20 août 1831 et mort à Vienne le 26 avril 1914, est un géologue autrichien spécialiste des Alpes. Source @Google >>>

Le géologue français Marcel Bertrand (1847-1907) pensait que les chaînes de montagnes américaines et européennes étaient reliées à travers l’Atlantique. Il reprenait l’idée de l’effondrement général de l’océan Atlantique, mais ne songeait pas, à l’instar d’Eduard Suess, à une nouvelle éventuelle mobilité des continents, comme le proposera Wegener quelques années après.
Marcel Alexandre Bertrand, né à Paris le 2 juillet 1847 et mort à Paris le 13 février 1907, est un géologue français, fondateur de la tectonique moderne par ses études sur les Alpes et sa découverte des nappes de charriages. Source @Google.

En 1910, le géologue américain Franck B.Taylor propose que les montagnes andines et les rocheuses le long de la façade pacifique sont nées du glissement des continents, ayant engendré un plissement général le long des deux continents américains. A cet argument, il ajoute l’habituelle mais toujours frappante similarité des côtes africaines et sud-américaines. Il semblerait qu’Alferd Wegner n’était pas été au courant des travaux de son homologue américain.



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