Mouvements des plaques
Avec l’évolution
technologique, de nouvelles méthodes sont apparues et ont permis de mesuré les
mouvements des déplacements des plaques, cela revient à des appareils électroniques
dotés d’une précision millimétrique. Ces appareils reposent sur la technologie
fiable du GPS (Global Positioning System).
Méthodes de mesures
L’une des méthodes s’appuie sur le recours aux astres dont
les radiotélescopes captent les ondes, notamment celles de sources d’énergie
électromagnétiques. Une fois reçue par plusieurs récepteurs terrestres, ces
signaux sont comparés et corrigés. Dans un second temps on déduit les
mouvements des radiotélescopes les uns par rapport aux autres et par conséquent
celui des plaques lithosphériques.
Sur le terrain, on évalue instantanément le mouvement,
parfois quotidiennement, grâce à des mesures réalisées avec des lasers sur des
balises fixes. Une cible située sur un versant de montagne, par exemple, est
visée avec un laser. Cette technique est utilisée en Afrique de l’Est dans l’Afars,
ou une dorsale océanique émerge et écarte la croute terrestre.
Méthodes Géologiques
Des données géologiques permettent de reconstituer la
célébrité du déplacement des plaques grâce aux points chauds (abordé dans le
chapitre suivant) dont on connait les âges des formations volcaniques, apparues
successivement le long d’un même tracé. Ainsi, le point chaud à l’origine de la
formation de l’archipel hawaïen a permis de préciser le sens de déplacement et
la vitesse de la plaque pacifique, même si le degré de certitude reste inférieure
a celui des méthode GPS. Cette méthode a montré aussi que la plaque pacifique a
fait l’objet d’une rotation de 41° dans le sens des aiguilles d’une montre.
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